Règle du bon samaritain
Le Code civil du Québec contient une mesure de protection qui vise à encourager le devoir du bon samaritain, c'est-à-dire le civisme et le bénévolat en permettant aux personnes (physiques ou morales) qui portent secours à leurs semblables lors d'accidents ou d'incidents ou disposent de biens au profit d'autrui (exemple : les banques alimentaires) d'être exemptées de toute responsabilité, envers la personne qu'elles secourent, pour le préjudice pouvant résulter d'une erreur de bonne foi qu'elles auraient commise dans l'accomplissement d'un acte socialement bénéfique.